Avec un lapin mijoté pendant 9 heures sur le coin de la Godin, ce jeune Pomerol aéré pendant 3 heures en carafe s'est montré aérien, fin, élégant, légèrement austère malgré de beaux arômes de cerise noire. Il faudra attendre quelques années pour que le millesime de la renaissance de ce Château nous dévoile toutes ses qualités ; et c'est très très prometteur.
Joli nom pour un Pomerol en plus !
RépondreSupprimerUn de mes breuvages préférés le Pomerol, mais je ne suis pas difficile...
Mais le lapin , comment était-il ?
Sûrement bien confit !
Lili, Zen était le Lapin... Bien confit avec des pruneaux, des lardons et des champignons ; mais pas trop, la chair était encore attachée aux os.
RépondreSupprimerTu l'as gâtée la Sylvia !!!
RépondreSupprimerRemarque, elle le mérite.
Bises à vous deux